Cendrars en toutes lettres
Parution Nov 2025
ISBN 978-2-88907-439-6
192 pages
Format: 140x210
Bientôt disponible

Cendrars en toutes lettres
Parution Nov 2025
Bientôt disponible

Blaise Cendrars & Auguste Suter

Correspondance 1911-1958. Vous me paraissez souverain. Simple, fort, solide

Blaise Cendrars & Auguste Suter

Correspondance 1911-1958. Vous me paraissez souverain. Simple, fort, solide

Cendrars en toutes lettres
Parution Nov 2025
ISBN 978-2-88907-439-6
192 pages
Format: 140x210

Cendrars en toutes lettres
Parution Nov 2025

Résumé

Sixième volume de la collection « Blaise Cendrars en toutes lettres », les missives échangées entre Blaise Cendrars et Auguste Suter relèvent de la correspondance d’artistes plutôt qu’entre écrivains ou proches parents, comme celles avec Henry Miller, Robert Guiette, Henry Poulaille, Jacques-Henry Lévesque, sa femme Raymone Duchâteau ou son frère Georges Sauser-Hall. Auguste Suter est sculpteur. Et Freddy Sauser est pour lui d’abord un camarade d’enfance, puisque les deux garçons ont usé leurs fonds de culotte à Bâle sur les bancs de la même école. Plus tard, en 1910, ils se retrouvent à Paris, et c’est au musée du Louvre qu’ils entament leur dialogue sur les questions de l’art et de la vie. Dès lors, leur complicité s’affirme et leur amitié perdurera jusqu’à la fin.

Auteur·ices

Blaise Cendrars

Blaise Cendrars (1887-1961) est une figure majeure de la littérature francophone du XXe siècle. Poète, romancier, journaliste, il a parcouru le monde et l’a retranscrit en une langue puissante et novatrice. Son expérience en tant que soldat français lors de la Première Guerre mondiale, durant laquelle il perd sa main d’écriture, a nourri une grande partie de son œuvre. Il a également entretenu une correspondance avec de nombreuses figures intellectuelles et artistiques françaises de l’époque.

Auguste Suter

August Suter était à la fois un camarade de jeunesse et un ami de toute la vie de Blaise Cendrars. Sculpteur, c’est leur sensibilité commune d’artites, avec leur camaraderie d’enfance, leurs souvenirs d’école à Bâle, qui les réunit. En 1910, ils se retrouvent à Paris, et c’est au musée du Louvre qu’ils entament leur dialogue sur les questions de l’art et de la vie. Dès lors, leur complicité s’affirme et leur amitié perdurera jusqu’à la fin

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Blaise Cendrars

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Dans J’ai tué (1918), prose poétique vertigineuse, Cendrars relate l’assaut d’une tranchée qui le conduit à poignarder un soldat allemand ; dans J’ai saigné (1938), il raconte la perte de son bras droit et sa convalescence aux côtés des autres blessés de guerre.
Réunies ici…

Blaise Cendrars – Jacques-Henry Lévesque. 1922-1959. Et maintenant veillez au grain!
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Blaise Cendrars Raymone Duchâteau. 1937-1954
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Entretiens avec Blaise Cendrars. Sous le signe du départ
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Avec J’ai saigné…

Auguste Suter