Méli l’étudiante est touchée au coeur par Vrochunda « à l’âpre nom », qui chante sur le pont aux Heures ; elle lui offre sa bague.
Karel le beau voleur découvre le plus précieux des joyaux : Prima Vera, une maison dans le secret de son jardin, hors du temps, hors du monde.
De la lumière du solstice d’été aux feux du solstice d’hiver, ces trois personnages se croisent et s’aiment sous l’oeil d’une narratrice qui s’immisce peu à peu dans le roman.
Du pont aux Heures au Bout du monde, en passant par la rue Mondétour, les lieux vivent aussi, dans une secrète résonance avec les âmes, dans la fragile et poignante perfection de l’instant.