Les trois textes réunis ici ouvrent une porte sur un sujet rarement traité par Nicolas Bouvier : son enfance. Dans le principal, il raconte, avec cette prose savoureuse qui lui est propre, les étés passés dans la propriété des grands-parents maternels et comment, petit garçon de huit ans, il triompha de l’« une des figures les plus détestées » de son enfance : Bertha, la bonne prusienne.