La semaine, l’usine « où les heures s’empilent », le samedi, la chasse au cœur de la forêt, « grande, profonde, vibrante, vivante et vivifiante ». Mais l’équilibre du narrateur bascule lorsqu’il trouve un homme mort dans ses bois bien-aimés, puis qu’Eva fait irruption dans sa vie.
Le premier roman de Douna Loup porte bien son titre : il est lui-même « embrasure » vers son œuvre ultérieure, au fil de laquelle son attrait pour la nature sauvage deviendra un motif central.