Ce sont les bouleversements, les attaques subis par cette ville qu’il décrit avec un style caustique dans le premier de ces textes. Attaque aussi, mais contre sa personne, dans « Le corps souverain », où il raconte un douloureux passage à tabac. « Patries », enfin, nous renvoie à ses origines. Y apparaît particulièrement ce qui est perceptible partout ailleurs en deçà de la violence : une nostalgie sans remède, une sensibilité sans cesse blessée.