Chercher l’apaisement chez un auteur du désespoir, paradoxe, absurdité ? Alors qu’il était plongé dans le deuil, l’auteur de ce livre a relu Nietzsche. Il a découvert que « l’impitoyable provocateur se double d’un auteur fraternel, radieux et lyrique ».
Citant Zarathoustra, Le Gai savoir, Ecce Homo, et faisant appel à des souvenirs personnels, il analyse étape par étape le cheminement qui, de la douleur, nous ramène à la joie de vivre. Ce trajet accompli, il peut conclure que « le processus de la consolation est nietzschéen par essence : lucide, violent et d’une tragique beauté. »