Domaine allemand
Parution Fév 2021
ISBN 978-2-88927-864-0
256 pages
Format: 140 x 210 mm
Disponible

Traduit de l'allemand par Barbara Fontaine

Domaine allemand
Disponible

Traduit de l'allemand par Barbara Fontaine

Katja Schönherr

Marta et Arthur

Domaine allemand
Parution Fév 2021
ISBN 978-2-88927-864-0
256 pages
Format: 140 x 210 mm

Traduit de l'allemand par Barbara Fontaine

Domaine allemand

Traduit de l'allemand par Barbara Fontaine

Résumé

Marta était à peine sortie de l’adolescence quand elle a rencontré Arthur, l’homme aux yeux menthe givrée. Et voilà qu’Arthur est mort, étendu à ses côtés. Tout au long de la journée tourmentée qui suit ce mystérieux décès, les souvenirs remontent pour dérouler l’histoire d’une relation faite de non-dits, d’incompréhension et de petites cruautés. Quarante années, au cours desquelles Marta a pris soin de peigner tous les jours les franges du tapis pour qu’elles soient bien droites, tandis qu’Arthur montrait plus d’affection pour son aquarium que pour son propre fils. Propulsée par son extrême sensibilité littéraire, Katja Schönherr nous offre un premier roman palpitant et glaçant sur deux êtres aussi incapables de vivre ensemble que l’un sans l’autre.

 

Autrice

Katja Schönherr

Née à Dresde en 1982, Katja Schönherr avait sept ans lors de la chute du mur. Elle vit aujourd’hui en Suisse et écrit des textes aussi bien journalistiques que littéraires. Marta et Arthur est son premier roman. Il a reçu le prix Millepages 2021.

Agenda

Ven. 27.9.2024 , 14h00

au festival America (Vincennes)

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Sam. 28.9.2024 , 11h00

au festival America (Vincennes)

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Sam. 28.9.2024 , 15h15

au festival America (Vincennes)

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Distinctions

Katja Schönherr, lauréate du prix Millepages 2021 pour  Marta et Arthur 

Dans les médias

« En cette rentrée hivernale, Marta et Arthur, premier roman, sort du lot à la fois par la rugosité de son sujet et l’ascétisme de son style. Un couple de quinquagénaires en plein marasme conjugal, jusqu'au matin où la femme découvre son mari mort dans son lit. Mort naturelle ? Meurtre ? Une écriture clinique. » Gérard Lefort

« Avec ce premier roman, cette journaliste saxonne étonne par la vérité absolue des sentiments abordés mais aussi par la méticulosité et la sensualité des descriptions. Remarquable traduction. » VSD

« L’auteur, Katja Schönherr, écrit là un premier roman troublant, insolite et particulièrement puissant dans son étrangeté inquiétante. Un roman où passe la vie, qui est toujours un mystère. Le mystère qui flotte dans ce texte ne cessera de vous hanter, tel un avertissement qui pourrait se résumer en phrases simples, la vie est courte et il est déjà trop tard. » Geneviève Senger

« Premier roman de l’Allemande Katja Schönherr, Marta et Arthur est le portrait d'une femme flouée en instance de rébellion. Une romance violente et haletante, superbement écrite, qui fait écho à bien des anxiétés contemporaines. (…)

Style de glace et histoire incandescente. Qui frôle le roman policier quand on se demande, nourri.e d’indices discrets, si Marta n’aurait pas assassiné son Arthur. (…) Marta et Arthur serait-il un cas superbe de romance anti-romance ? (…) “Il était important pour moi de créer des personnages qui ne sont ni clairement bons ni franchement mauvais !’ On ne saurait mieux résumer Marta et Arthur : un grand roman de l’incertitude. »

Un article de Gérard Lefort à lire en entier ici

« C’est un roman qui inquiète et qui glace comme un vent d’hiver au bord de la Baltique. On frissonne dès les premières pages où Marta se réveille à côté du cadavre de son compagnon, Arthur, qui a vécu quarante ans à ses côtés sans dispenser la moindre chaleur humaine. Par sa banalité, le titre se garde d’orienter le sens d’une histoire ouverte à des interprétations multiples (…).

C’est une fable cruelle et polie comme un galet. Un coup de maître. (…)

Les deux versants du récit s’imbriquent à merveille ; Katja Schönherr a le sens du montage romanesque. Elle excelle aussi dans ce laconisme subtil qui peut la rapprocher d’un Peter Stamm. Les décors sont réduits au minimum : une petite ville en bord de mer, un immeuble anonyme. Sur ce fond de grisaille, les objets prennent un relief étrange et tout résonne comme dans une pièce vide. La netteté du trait contraste avec les tréfonds obscurs de cette valse entre la vie et la mort. Tout en exorcisant le passé, Marta le perpétue : « Arthur est là. Et tant qu’il est là, tout est comme d’habitude. » Michel Audétat

« C’est un bon premier roman. A l’image de cette illustration photographique de couverture. Deux bocaux – j’aurais aimé pouvoir dire deux bocals – contenant des poissons. (…) Vous choisirez lequel vous baptisez Marta et lequel vous baptisez Arthur. (…) C’est une histoire violente écrite en finesse où la vie des gens se bâtit contre celle des autres, où il faut se créer des points d’ancrage et de fuite… »

Une chronique de Noé Gaillard à lire en entier ici

« Marta et Arthur c’est exactement le contraire de l’émancipation de la femme. Une histoire de couple qui commence à l’eau de rose et qui finit en eau de boudin. Atmosphère de décomposition et de glissement vers la folie. Tout est gris, froid, flou et incertain dans ce livre où personne n’est foncièrement bon ou mauvais. Ce n’est pas le récit linéaire d’un amour qui s’use. C’est beaucoup plus original, surprenant, cruel et drôle que ça. Katja Schönherr se garde bien de nous présenter Marta comme une pauvre victime. (…)

Barbara Fontaine, la traductrice, a réussi à faire passer toute la force et la sobriété d’une écriture qui alterne entre le passé et le présent, le froid des échanges entre les époux et le chaud des sentiments intimes, la présence matérielle de la mort et celle des objets, des aliments, des bruits, des odeurs et surtout l’absence de contrôle sur sa vie. »

Réécouter Geneviève Bridel dans « Le Trio » ici

« La vie de Marta et Arthur est d’une platitude affligeante, elle obéissante, lui pète-sec, et d’une indifférence aux siens qui empoisonne la vie de la famille. A son décès, Marta semble pourtant triste, comme si elle n’avait pas vu évoluer son amour de jeunesse… Mais pourquoi alors ouvre-t-elle le champagne, comme pour fêter la fin de ces quarante ans d’union ? Saisi par la plume subtile mais impitoyable de Katja Schönherr, le couple banalement dysfonctionnel des « Mar’thur » distille une ambiance intrigante, qui pimente de manière inattendue ce roman poignant. »

« Premier roman affûté comme un scalpel, « Marta et Arthur » autopsie les ressorts d’un enfer conjugal. [Il] allie un soin rigoureux de la construction – dû peut-être à la pratique journalistique – au sens des images percutantes. (…) cette sobriété donne un récit tendu, cruel, sans concessions. (…) Un coup de maître ». Isabelle Rüf

« Ce roman nous entraîne sur les crêtes vertigineuses et paradoxales d’une union qui ne tient que par les lambeaux mêlés de la discorde. C’est un livre sur la mort, mais palpitant du désir d’exister. Sombre, mais rempli d’éclats de lumière. C'est un livre qui dérange tout en remettant les choses à leur juste place. Bref, un roman réussi. [Un] texte complexe, raffiné, magistralement construit. » Pierre Deshusses

« Un premier roman qui ne laisse pas indifférent. Beaucoup de sensibilité. C’est tout en nuances, il y a une vraie tendresse même si c’est dur. Je le conseille fortement. »

Coup de coeur de Bertrand Lamure (Librairie des Marais) à réécouter ici

« Arthur est prof, il a les dents jaunes, une moustache vieillotte. Il fait ses mots croisés chaque matin, se penche sur des puzzles tous les soirs, et peigne les franges du tapis. Il a aussi des yeux couleur « menthe givrée » : voilà la vie de Marta, son ancienne élève, très mal engagée. Quand le livre commence, quarante ans après la rencontre, Arthur est au lit et ne respire plus. Sa compagne l’a-t-elle tué ? En tout cas, la vengeance est à l’œuvre. Arthur détestait le sable. Il va être servi. L’ancien talent de Marta pour décorer les vitrines se réveille, tandis qu’elle rembobine son existence avec un homme, très créatif dans les vexations, qui la haïssait. Avec ce premier roman, Katja Schonherr réussit à garder tendu le fil d’une horreur conjugale menant droit à la folie. » Frédérique Fanchette

« D’une grande force et d’une cruauté implacable, le premier roman de Katja Schönherr décrit un huis-clos conjugal où l’absence de tendresse vire à la haine. La relation du couple est fondée sur le désaccord et la misère affective. Elle, jeune fille rejetée par une mère alcoolique, croit trouver un substitut paternel dans le professeur trentenaire qui la séduit. Lui, précédemment déçu en amour, réfugié par dépit en bord de mer, frustré, se venge de ses ratages et de ses penchants mal assumés. L’un et l’autre se complaisent dans l’engrenage et l’impossibilité à défaire des liens toxiques. Nulle violence physique entre eux : tout passe par des persiflages, tortures psychologiques, espérances piétinées, méchancetés gratuites allant crescendo jusqu’à l’insupportable. Des descriptions naturalistes frôlant parfois l’insoutenable, une construction subtile et efficace, une écriture au scalpel : une réussite. » (T.R. et E.M.)

Un article à lire en entier ici

« La construction du roman Marta et Arthur est en tout point remarquable comme l’écriture au scalpel, incisive, décapante. (…) Un livre très réussi et prenant. »

Une chronique à lire en entier ici

« Katja Schönherr déroule deux fils narratifs dans son premier roman, Marta et Arthur, qui dissèque avec finesse la relation délétère du couple. Ascétique et tranchante, son écriture épouse le point de vue de Marta tout en gardant la distance, maintenant à la fois le mystère et la tension générée par la situation. (…)

L’auteure restitue à merveille l’atmosphère pesante, les saillies méchantes d’Arthur, la bravoure de Marta qui fait face, sa solitude, sa vie étriquée, étouffante, rassurante – on devine des abîmes sous les franges du tapis ! Ce n’est que peu à peu que s’installe le doute. Que la solidarité du point de vue de Marta s’effrite, que sa fiabilité se fissure. (…)

Marta et Arthur sonde ainsi le mystère sans fond des relations amoureuses, les lâchetés quotidiennes et les stratégies de survie au fil d’une intrigue parfaitement ciselée où les frontières entre réel et déraison finissent par se brouiller. (…)

Tout en sobriété et d’une grande sensibilité, ce premier roman tisse son piège subtil à la manière d’une toile d’araignée, solide et délicate. Aussi glaçant qu’émouvant. » Anne Pitteloud

« D'une écriture incisive et pourtant très poétique, l'autrice explore pleinement le thème de la violence morale, notamment dans le cadre familial. (…) Les sujets abordés dans ce premier roman sont très lourds. Toutefois, Katja Schönherr les décrit avec beaucoup de justesse, sans jamais tomber dans le mélodramatique ou le kitsch. »

Une chronique de Cédrine Tille à retrouver en entier ici

« Katja Schönherr se collette, dans Marta et Arthur, son premier roman, avec la ruine – mais celle, réciproque, savante et minutieuse comme une torture chinoise qu’est le couple lorsque l’ars amatoria devient science de la haine, lorsque le fil des jours est barbelé. Le tout – génial paradoxe que seule permet la littérature – dans une architecture romanesque soigneusement conçue qui, elle, n’a rien de délabré. » Damien Aubel

« D’origine allemande, installée en Suisse alémanique, Katja Schönherr fait de ce huis clos un roman remarquablement clinique. La subtilité d’Ingmar Bergman y épouse la cruauté de Joyce Carol Oates. (…) Katja Schönherr écrit avec une lame de bistouri. Elle met à nu et à vif les rouages d’un couple condamné dès sa formation. Leur médiocrité est le cache-sexe de la toxicité qui les lie fatalement. Tout est corrosif, prenant et violent dans Marta et Arthur, mais d’une violence sourde, psychologique, morale, relationnelle. Plus qu’une révélation, cette première fiction est un coup de maître. On en sort avec des envies de foule ou d’île perdue histoire d’éviter à tout prix un tête-à-tête qui, initié par une rencontre malencontreuse, finirait dans le mur du malheur ordinaire. » Thibaut Kaeser

« Dans ce thriller psychologique d'une maîtrise exceptionnelle, Katja Schönherr fait l'autopsie d'un enfer conjugal ordinaire, suscitant chez le lecteur un mélange de terreur et de pitié. (…) Tragédie naturaliste, ce roman est aussi une magistrale peinture de la folie, de ses raisons secrètes et de ses racines: le manque d'amour. » Astrid de Larminat

« Le roman de Katja Schönherr met en scène une femme fragile, mais forte à sa manière (…) Marta est un personnage complexe, intéressant. (…) Plus que par l’approche psychologique, c’est par le langage poétique, par les images qui cernent au mieux sensations et sentiments, par le charme de l’œuvre littéraire donc, que le lecteur s’attache à celle qui prend désormais toute sa place parmi les figures féminines romanesques. »

Une chronique de Jean-Luc Tiesset à retrouver en entier ici

« La figure de Marta est d’une beauté incisive, de celle qui émeut, bouleverse et fait mal aussi. Dans ce premier roman d’une rare acuité et d’une originalité totale, Katja Schönherr réalise l’autopsie d’un couple mal assorti à travers le regard d’une femme mal aimée. » Brindha et Pascal

« Katja Schönherr signe ici un premier roman d’une virtuosité remarquable, aussi nocif qu’irrésistible. (…)

Il flotte autour de cette histoire une odeur malsaine qui prend aux tripes et qui ne nous lâche plus. Et pourtant, on ne le repose pas. Pire, on le dévore ! Dès les premières pages, on sent que quelque chose ne tourne pas vraiment rond. (…)

Katja Schönherr nous plonge dans les affres d’une relation construite sur le rejet, grâce à une écriture minutieuse et sensible, entre tension et tangage, d’un tapage implacablement silencieux, pour savoir ce qui a pu pousser ces deux êtres l’un vers l’autre. Pas de trash, pas d’explosion, mais tout le glauque du non-dit. Un intense roman noir d’ambiance, qui déroute autant qu’il glace. »

Un article de Quentin Perissinotto à lire en entier ici

Le meilleur de 2021 : les coups de cœur des collaboratrices et collaborateurs de QWERTZ.

Marta et Arthur « le portrait poignant et cru d’une vie gâchée, servi par une langue à la justesse prodigieuse. »

Coups de cœur

« Un récit admirablement écrit sur la violente agonie d'un couple. Un texte diabolique glacial et d'une finesse rare. Une perle. » Rosalie R.

« Ce premier roman est une véritable pépite, magistralement construit, génialement écrit. On est dérouté, interloqué, on sourit, on grimace, on grince, on rit même parfois alors que ce qu'on nous raconte est terrible et flirte avec la folie: une vie faite d'amertume, de ressentiment, de non-dits, de frustrations, de violence. » Laure Vezilier

« Cela aurait pu être la lecture déprime, l'histoire d'un couple qui s'est détesté pendant 40 ans.. Mais c'est l'histoire avant tout poignante et déroutante de Marta dont la vie n'est faite que de mauvaises rencontres… Une écriture captivante, hypnotique! »

« Avec ce simple titre, on pourrait s'attendre à une histoire d'amour. Mais c'est plutôt le roman de la discorde, de deux histoires qui se rencontrent sans jamais vraiment se croiser. Le destin d'une jeune femme pleine de vie et d'un homme étrange et réservé, un texte sombre mais jubilatoire sur le désir impérieux d'exister et l'incompréhension entre deux êtres. Un livre subtil et limpide, admirablement maîtrisé pour un premier roman. » Damien Malfait

« Une construction originale pour raconter les non-dits, les concessions d'un couple qui se supporte pendant 40 ans. C'est noir, mais profond ! » Ariane Herman

« Un coup de maître ! (ou de maîtresse?) » Chantal Nicolet

« Un premier roman qui ne laisse pas indifférent. Beaucoup de sensibilité. C'est tout en nuances, il y a une vraie tendresse même si c'est dur. Je le conseille fortement. » Bertrand Lamure

« La famille, ce petit théâtre de la cruauté. Remarquable premier roman ! » Valérie Landry

« Marta et Arthur aurait pu s'intituler  »De l'art de faire des mauvais choix et de l'obstination à les répéter« . Avec un talent certain de portraitiste et un humour grinçant, Katja Schönherr déroule toute une vie bâclée. Certes, on est bien loin du glamour. Pourtant, on ne peut s'empêcher d'être hypnotisé-es par cette histoire terrible, fasciné-es que nous sommes par Marta, personnage définitivement et complètement  »à l'ouest« . Lire Marta et Arthur, c'est un peu comme observer la vie d'une fourmilière dans laquelle il n'y aurait qu'une seule fourmi contre le reste du monde. Cela peut paraître étrange de conseiller un livre qui se compare à un carnet de recettes pour gâcher sa vie. Mais l'exercie, ou la prouesse, littéraire auquel se livre Katja Schönherr (réussir une histoire avec de tels personnages et un tel sujet) est si étonnant qu'on ne peut qu'encourager à la découverte d'une telle autrice. » Alexandra Vilcocq
 

« Magistral et glaçant ! »

« À partir d'une scène inaugurale saisissante et emplie de mystérieuses intentions, cette jeune autrice allemande nous fais rassembler les pièces d'un puzzle dont l'image finale restera longtemps en mémoire. L'écriture poétique et expressive de Katja Schönherr dresse le portait subtil et nuancé d'une femme flouée, abîmée par son mariage. Il y a quelque chose de Bergman et de Simenon dans ce scénario implacable et fascinant. Sans la moindre hésitation, l'un des meilleurs romans de l'année ! »

« Un premier roman féroce et glaçant, totalement hypnotisant, servi par une langue d'une justesse folle. Impressionnant ! »

« Glaçant et merveilleux, ce roman est impossible à lâcher. Portée par une plume délicate et précise, cette autopsie d'un couple  »raté«  nous emporte dans les tréfonds de la solitude conjugale. Morose ? Pas vraiment, car à la mort d'Arthur, Marta pourtant si banale et effacée, révélera toute sa singularité pour le plus grand plaisir du lecteur ! Un premier roman magnifique à ne pas manquer. » Véronique Gendre

« Marta et Arthur: deux prénoms côte à côte, une belle histoire d'amour ? Et non… plutôt une histoire de non amour ! Une écriture qui nous fait voyager entre passé et présent, entre la rencontre et la désillusion. Troublant et beau ! »

« Marta et Arthur, c'est un couple qui n'aurait jamais dû exister. Page après page, le roman lève le voile sur la terrible histoire de ces êtres aveuglés par leur malheur. Un premier roman surprenant, émouvant, glaçant. » Lucie Lisant

« Quelle féroce histoire de vie ! Quelle drôle de situation romanesque parfaitement amenée par l'auteure ! Que ce texte va vous hanter ! FONCEZ ! Mais faites attention aux apparences… » Simon Gémon

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