« Mon point de départ était un amour absolu entre un frère et une sœur, Benoît et Louise ; je voulais que Benoît soit responsable d’un malheur arrivé à sa sœur afin de pouvoir aborder le thème de l’amour confronté à la culpabilité. » Pascale Kramer
Décrivant les conséquences d’un drame inaugural sur le monde intérieur des protagonistes, Les vivants suit pas à pas la sidération face au deuil et à sa douleur, la culpabilité qui ronge, le délitement des relations. Et fait sentir la puissance acharnée qui pousse à oublier, pour revivre et recommencer malgré tout.