« Vous avez commencé à lire l’introduction de Michèle Fleury-Seenmüller et vous savez déjà un peu tout cela, mais le Journal vous dit en même temps l’émotion, la douleur de Madame Bohny-Reiter. Une douleur triple : j’ai mal de ne faire que le peu que je peux faire, j’ai mal de leur souffrance, j’ai mal pour eux d’avoir autre chose que des souvenirs et des espoirs auxquels me raccrocher.
L’introduction présente ce journal comme un nécessaire témoignage historique, mais il me semble que le lecteur saura dépasser le cadre historique qui lui permet de se dédouaner comme l’on dit pour replacer sa lecture dans notre monde actuel. »
Une chronique de Noé Gaillard à lire ici