Entre Budapest et Paris, en passant par Venise et Kyoto, partout et ailleurs, le narrateur à l’âme mélancolique et à l’humour désabusé promène ses personnages – ses doubles, ses ennemis – à travers rêves, aventures et amours dans un monde qui ne cesse de l’étonner.
Un adolescent d’Europe de l’Est part à la recherche d’un merveilleux Occident pour échouer dans le taudis parisien d’un compatriote. A Odessa dans le New Jersey, à Wengenbach dans les Grisons, dans la 60e rue à New York, des enfants et des adultes s’aiment et se perdent. Au cimetière Novodiévitchi, à Moscou, une mère dit adieu en yiddish à son fils général…
Ce livre qui parle de jazz, de peinture, de femmes et d’exil, est un parcours joyeusement désespéré pour retrouver l’enfance.