Assis dans son jardin, impotent peut-être, objet d’horreur, un vieil homme interpelle ceux qui se gardent de l’approcher et ressasse son histoire, sa folie, sa mission. A Ceylan autrefois, « l’Ambassadeur » l’a chargé, lui l’attaché culturel, de résorber le désordre causé par ce qui divague, s’agite, échappe au contrôle, ne tient pas en place : les enfants. C’est à eux qu’il s’adresse comme à ses propres enfants et petits-enfants dont la bande joueuse et prudente se tient à distance : petits chérubins, petits monstres…