« La grande colline est un paradis, Thomas : elle ignore les brûlures du soleil, les troubles cardiaques, les chutes et les accidents. De temps en temps, un être délicat se pend ou se tire une balle sans faire de bruit dans un bosquet discret ou dans l’abri jaune du tram qui sent le vernis. Qu’importe ! Les couples d’amoureux recommencent à s’y embrasser ; les vieilles dames y font leur petit somme, les mères y laissent jouer leurs enfants, et les chiens reniflent le sol d’un air pressé et attentif. »
Première édition en 1983