Sonia Molinari

Sonia Molinari vit près de Neuchâtel, où elle enseigne le flamenco. Avant ça, elle a entre autres travaillé comme hôtesse de l’air et appris à parler cinq langues. Ne pas laisser le temps à la nuit est son premier roman, qu’elle a porté et peaufiné pendant six ans. Sonia Molinari dit qu’elle est spectatrice de ses personnages et de leur vie. Elle les observe et les transcrit avec l’intuition puissante d’une conteuse.

Sonia Molinari, lauréate du Prix littéraire chênois 2019

Sonia Molinari, lauréate du prix « Mérite culturel » décerné par la commune de la Grande Béroche pour « Ne pas laisser le temps à la nuit »

Sonia Molinari, lauréate du Prix Eve de l’Académie romande 2022 pour « Ne pas laisser le temps à la nuit »

Ne pas laisser le temps à la nuit (2022, domaine français)

Ne pas laisser le temps à la nuit

Maiko se réveille dans une clinique, une mystérieuse cicatrice au bas du dos et un souvenir lancinant dans sa mémoire en vrac : la disparition soudaine de son père, microbiologiste de génie. Ce mystère, Maiko devra le résoudre coûte que coûte pour se reconstruire, quitte à arpenter les quatre coins du monde, talonnée par d’inquiétants poursuivants. Une quête aux côtés d’une héroïne fragile, rebelle et attachante.

Ne pas laisser le temps à la nuit (2020, domaine français)

Ne pas laisser le temps à la nuit

Disponible en poche

Maiko se réveille dans une clinique de Bruxelles, une mystérieuse cicatrice au bas du dos et un souvenir lancinant dans sa mémoire en vrac : celui d’une adolescence heureuse à Hong Kong, brisée le jour où son père, microbiologiste de génie, a été porté disparu.

La jeune femme entreprend de se reconstruire et se jette à corps perdu sur les traces de son père. Même s’il lui faut arpenter les quatre coins du monde en hôtesse de l’air, talonnée par d’inquiétants poursuivants.

Dans ce récit d’une quête autant que d’une fuite en avant, Sonia Molinari saisit avec talent atmosphères et personnages, qu’elle observe et transcrit avec l’intuition d’une conteuse. C’est sans hésiter que l’on s’embarque à la suite de son héroïne rebelle et fragile.