Dans ce bref roman, Klaus Merz raconte l’histoire d’une famille marquée par la maladie et la mort. Rien de morbide pourtant dans cette suite de tableaux, mais une gaieté, une vigueur paradoxales : y concourent la chaleur du fournil paternel et l’atmosphère des années cinquante, les frasques tragi-comiques de l’oncle…