Dans ces nouvelles écrites en France et en Autriche, on retrouve artistes fauchés, fantaisistes blêmes, prolétaires musclés ou fluets. Ludwig Hohl puise dans son expérience pour dépeindre la vie animée des faubourgs, s’incarnant en un promeneur solitaire aux inflexions walseriennes. Parfois, il vient s’échouer sur la berge d’un fleuve ou…